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Serge

  • Comment as-tu connu la Penya ?

 

Grâce à toi !

J’étais allé à Colombes prendre un billet pour voir le match seul, et je me suis retrouvé avec une bande de catalans un peu fous, qui ont chanté, crié, supporté pendant toute la rencontre. J’ai trouvé sympa de suivre les matches de l’USAP à plusieurs.

 

  • Depuis combien de temps es-tu à la Penya ?

 

Deux ou trois ans. Depuis que j’y suis, j’ai connu la descente en D2 et les désillusions de demi-finales perdues.

 

  • Depuis combien de temps es-tu supporter de l’USAP ?

 

Depuis tout petit ! J’avais un camarade de classe qui a joué à l’USAP.

Dans les P.O, tu parles de l’USAP tous les jours. Dans ma jeunesse, on jouait dans la cour le mercredi et le dimanche j’allais au stade du village, c’est comme ça.

Je suis allé plus tard voir jouer l’USAP, ado puis adulte mais de manière pas très régulière. Je les supportais sans aller les voir systématiquement.

 

  • Que signifie pour toi être supporter de l’USAP ?

 

C’est le porte-drapeau pour les catalans du Nord comme l’est le Barça pour les catalans du sud. C’est une identité que tu fais voyager partout en France et même au-delà.

C’est aussi le lien avec le pays. Auparavant, ça m’arrivait souvent d’écouter les matches sur France Bleu Roussillon. Avec la Penya, c’est l’occasion de le faire en groupe, avec des gens qui partagent la même passion, le rugby et l’esprit catalan.

 

  • Ton souvenir marquant ou le plus beau avec la Penya ?

 

Je suis là depuis peu ! Je garde un beau souvenir de la réception à Massy et de la demi-finale contre Agen. Si on a perdu le match, l’ambiance était belle.

 

  • Ton avis sur la Penya ?

 

C’est un groupe sympathique, mais on est moins nombreux depuis que l’on est descendu en deuxième division. Ca ronronne un peu. On est parfois plus nombreux, et tout le monde est content de se retrouver. Il faut remonter ne TOP 14 pour relancer la dynamique.

 

  • Que souhaiterais-tu voir évoluer ou améliorer à la Penya ?

 

J’ai l’impression que ce n’est pas facile de faire « venir » des catalans vers la Penya. Peut-être tisser des liens avec l’amicale des Catalans de Paris ou avec les quelques catalans qui viennent au Long Hop ?

Côté moyens : la liaison internet est parfois défaillante, il faudrait améliorer ça avec le Long Hop.

Ce qui est intéressant, ce sont les déplacements pour se retrouver autrement qu’au café autour d’un verre. Il est parfois difficile d’aller en province car on a tous des obligations, du coup profiter de la venue des Espoirs ou les féminines est aussi une occasion pour se retrouver.

Enfin, les moments tous ensemble « en bas », l’été, sont à continuer !

 

 

  • Quelle est ta présence à Aimé Giral ?

 

J’y suis allé seulement une fois cette année. Mais cela ne me manque pas vraiment, quand on est à Paris, on est à Paris !

Lorsque je suis à Perpignan et qu’il y a un match j’essaie d’y aller mais comme je vois les matchs toute l’année grâce à la Penya, cela ne me manque pas trop.

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