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Jean B.

  • Comment as-tu connu la Penya ?

 

Habitants du Var, en janvier 2007, de passage en région parisienne, nous avons appris sur le web qu’un groupe de la diaspora catalane organisait à l’occasion d’un match USAP WASP un déplacement à Londres en bus.

 

  • Depuis combien de temps es-tu à la Penya ?

 

Notre demande de participation acceptée, nous sommes devenus (mon épouse Michèle et moi-même) et restés membres de la Penya depuis cette date soit 10 ans !

 

  • Depuis combien de temps es-tu supporter de l’USAP ?

 

Je fus élevé depuis ma plus tendre enfance en amoureux inconditionnel de l’USAP, c’est pourquoi à l’âge où « l’homme se penche sur son passé » ressurgisse quantité de souvenirs :

  • Plus ancien celui de juin 44 où j’ai le souvenir de voir un wagon entrant en gare de Perpignan avec en lettres blanches : « Honneur aux champions » !

  • Puis plus tard en 1955 la finale gagnée face à Lourdes de Jean Prat et Martine suivie à la radio, commentée par Loys Van Lee alors que j’étais sensé préparer mon bac !

Bien entendu je n’oublie pas les dimanches de match à Aimé Giral, l’arrêt obligatoire à la brasserie de Paco Sala qui était alors le siège du club, histoire de refaire le match et de rencontrer les joueurs ! Je n’oublie pas non plus les déplacements à hauts risques en terre d’Occitanie Narbonne, Béziers ! C’était l’époque aujourd’hui révolue où seul le joueur parlant catalan était digne de porter la tunique bleu azur et le blason sang et or.

La vie active, professionnelle, a fait que ces souvenirs d’enfance et d’adolescence sont rentrés dans le tiroir du passé jusqu’en 2007 où, retraité et grâce à la penya il s’est rouvert !

 

  • Que signifie pour toi êtresupporter de l’USAP ?

 

Comme je l’ai dit c’est être un amoureux inconditionnel, avec ses hauts et ses bas, ses moments de joie immense, de bonheur partagé mais aussi de stress, de déception et parfois de tristesse. C’est assez indescriptible en fait mais tout vrai supporter de l’Usap sait ce que cela représente.

 

  • Ton souvenir marquant ou le plus beau avec la Penya ?

 

Bien entendu La Penya nous a permis le partage d’une immense émotion le soir de la victoire au Stade de France un soir de juin 2009 après une mémorable cargolade face à la Tour Effel !

Mais les beaux souvenirs avec la Penya sont très nombreux : la finale de 2010, les déplacements en France et en Europe, les rendez-vous au pub à Paris, la venue des joueurs au pub, les matchs partagés à Aimé Giral, les moments festifs organisés , les savoureuses chroniques d’après match regroupées dans un super livre « Tramuntanes parisiennes » avec de magnifiques photos des membres de la Penya.     

 

  • Ton avis sur la Penya ?

 

Elle nous a offert la rencontre d’afficionados tellement attachants et la naissance d’une belle et profonde amitié.

Elle nous montre que sur Paris elle peut être un véritable « liant » pour des catalans (jeune ou moins jeunes) venus à Paris travailler ou seulement de passage.

Elle nous offre de très beaux moments inoubliables de partage et de solidarité.   

 

  • Que souhaiterais-tu voir évoluer ou améliorer à la Penya ?

 

Notre penya a su rester vivante et ce malgré la descente en Pro D2  et même si cette Usap, bien sûr, n’a plus rien à voir avec celle que j’ai connue,  peu importe tant que des Penyas comme Els de Paris amb l’Usap perdureront, elle restera le symbole de la catalanité.

 

  • Quelle est ta présence à Aimé Giral ?

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Lors de nos fréquents voyages à Perpignan c’est toujours aujourd’hui un vrai plaisir lorsque nous en avons la possibilité d’assister à un match à Aimé Giral soit environ  7/8 fois par saison.

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